Arigato !
Aujourd’hui, on voyage au pays des ramens et des mangas sans bouger de chez soi, ou presque, il suffira d’ouvrir la porte du jardin. Le jardin zen est paisible, les oiseaux y chantent, la vie y est douce, et il a une histoire à raconter.
Dans cet article, les 4 piliers du jardin zen.
On ne va pas y aller avec des baguettes.
C’est l’élément primordial du jardin, appelé “kare san sui”, ou jardin sec composé de sable, rochers, de graviers et de mousse. Ses étendues de gravier offrent un très beau contraste pour l’œil dans les jardins zen. Les minéraux utilisés dans ces jardins sont parfaitement adaptés à un climat de type méditérannéen.
Composé de carex, de liriopes, de ophiopogons et de bambous nains dorés, ce type de chemin est volontairement étroit et est généralement surplombé par des plantes taillées en nuage, qui guide vers l’entrée principale.
L’idée est de mettre le visiteur dans une bulle, un parcours initiatique, et de laisser l’énergie du jardin venir au plus près de celui qui le visite.
Composé de carex, de liriopes, de ophiopogons et de bambous nains dorés, ce type de chemin est volontairement étroit et est généralement surplombé par des plantes taillées en nuage, qui guide vers l’entrée principale.
L’idée est de mettre le visiteur dans une bulle, un parcours initiatique, et de laisser l’énergie du jardin venir au plus près de celui qui le visite.
Véritable espace de méditation, le tsukubai, ou bassin d’ablution, se fond dans la végétation de l’espace, et offre un calme propice à la relaxation.
J’espère vous avoir transporté dans cet endroit idyllique qu’est le jardin zen, et je vous conseille vivement de lire cet article pour aménager votre jardin zen comme il se doit.
C’est nippon ni mauvais… Thomas de chez HortusBox
